Dans les premiers temps des chemins de fer, les constructeurs furent d’abord de petits ateliers locaux : forges et chaudronneries pour les locomotives, charrons pour les voitures voyageurs (basées sur des plans de diligences).
A Bordeaux il faut attendre la fin du XIXe s. pour voir émerger des noms :
- Valentin Purrey – Rue d’Ornano puis Boulevard J.-J. Bosc
- Gustave Carde – Quai des Queyries à La Bastide et la CIMT à Floirac
- Dyle & Bacalan – Quartier Bacalan
- Les Ateliers Lauroua – Quartier Bacalan